Mes créations

Tes mots quelle sont ses mots que tu prononce doucement aux creux de mon oreille
Que veux dire leur signification

Je l'aime,
I love you,

ich liebe Dich,
bahebbik tha gaol agam ort / tha gaol agam oirbh,

tá grá agam duit

Comment peut tu prononcer ses mots a mon oreille sans les pensées
Comment peux tu poser tes lèvres sur les miennes sans que cela n'évoque rien pour toi

Suis-je toujours pour toi, le moyen d'oublier son souvenir
Ne dit ton pas que dans « Je t'aime » il y a « Tu m'appartient ? »

Ses mots sont vides de tout sens entre tes lèvres
Voila pourquoi mon âme est meurtrie et que mon coeur saigne.

Sous la pleine lune de septembre je t'attends
Le vent soufflait si fort sur notre lieu de rendez-vous
S'est dans cette clairière par ce matin de septembre que nous nous sommes rencontré
S'est dans ce lieu que tu ma dit pour la première fois « Je t'aime »

Ce soir tu ma demander de venir te rejoindre ici
Malgré le froid et la pluie qui commence a tombée sur mon visage je t'attend je suis la
Mais toi ou est tu ?
Dix minutes ont passée, vingt, et maintenant une heure

Je resserre ma veste sur moi en pensant a tes bras qui d'habituellement me serre contre toi
M'adossant à cet arbre qui a vu nous offrir l'un a l'autre
Il me semble si triste comme s'il sentait ma peine
Sait il lui aussi que tu ne viendra pas.

Je regarde la lune elle est ronde et pleine comme cette fameuse nuit
Cette nuit ou je t'ai offert mon cœur, mon corps et mon âme
Cette nuit ou tu ma proposer d'unir ton destin au miens
Une nuit qui été la notre.

Mais aujourd'hui tu n'est pas la
Tu ne viendras plus jamais, puisque tu dors dans ta prison de marbre
Dans ma main froide ce tient la clé de cette prison
Froide et noir comme le sont les ténèbres qui m'entour

Minuit sonne à mon portable
Minuit cette heure où tu es partie dormir
Doucement je porte la clé devant mon visage
Et je ferme les yeux

Dans le silence de la nuit
Une détonation déchire ce voile
La chute d'un objet tombant au sol
Tout et fini

Connaissez vous l'histoire de l'homme qui veçu une semaine ?
Cette histoire est autant la sienne que la mienne
Car nos destin son nouer

Un dimanche alors que je marchais je le vie
Si ne savais plus qu'il été
Je l'ai abrité sous mes ailes

Le lundi il naquit
Je m'occupée de lui telle un enfant
Il respira pour la première fois

Le mari il fut baptisé
L'eau sainte coula sur son front
Et il eu un nom

Le mercredi il se maria
Avec tendresse et affection
Il m'offrit son cœur

Le jeudi il y eu la lune de miel
Nous allions prés d'un magnifique lac
La ou nous nous sommes aimés

Le vendredi il tomba malade
Poussant un cri de douleur je le vie s'écrouler sur le sol
Son front brûlant de fière

Le samedi il mourut
Je vis le sang coulé ouvrant grand ses yeux sur moi
Je t'aime furent ses derniers mots

Eteignant l'ordinateur je suis montée me réfugier dans mes draps glacial
Ferment les yeux je ne pouvait trouvée le sommeil dont j'ai besoin

Le souvenir de tes mots hantes encore mon esprit
Ils ont plantés une dague dans mon cœur et déchirer mon âme

Malgré l'écran qui nous sépare je ressens ta peine et ta douleur
Trois mots fort simples s'arrêtent au bort de mes lèvres

Je ne les prenons pas de peur que tu me repousse ou de rouvrir d'anciennes blessures
Ses trois mots son gravé dans ma chair et sont


« Je t'aime »

Ce matin lorsque j'ai ouverts les yeux tu dormais paisiblement à mes cotés
La nuit avait été notre complice
Dissimulant l'unions de nos corps dans la douceur des draps de soie

Bougeant un peu je t'entend grogner
Un sourire amuser s'étire sur mes lèvres
Et je caresse doucement ton visage

Ouvrant les yeux sur mes caresses un sourire apparaît sur tes lèvres
Te redressant tu pose tes lèvres sur les miennes avec douceur et passion
Le jour commence à ce levé.

Me regardent tu me murmure doucement de m'habiller
Quittant le lit tu te vêtis rapidement comme si tu été gêné
Mon cœur sait ce qui va se passer et se serre

Me levant je m'habille à mon tour rapidement
Nos regards s'évites comme si nous étions des étranges
Puis tu te tournes vers moi

La tu tant les mains vers moi mais je ne les prends pas
Tu me dis que tu as aimé et que cela fera un bon souvenir
Et qu'il est temps de nous quitter.

N'aillent aucun regard pour toi je repose tes bras qui tente une nouvelle fois de m'attirer a toi
Je ne veux pas recevoir le dernier baiser que tu voulais me donner
Mon regard est froid semblable a celui d'un animal blesser.

Me dirigeant vers la sortie j'entends ta voix qui murmure
Je m'arrête doucement sans me retournée mais ne dit toujours rien
Puis je franchie la porte et tout est fini notre histoire appartient au passée.

Assise dans mon canapé je fais tournée mon verre entre mes doigts
La fatigue a envahie chaque partie de mon être

J'ai passée la journée a pleurer
Mes grands yeux couleur ténèbres sont vides de toutes expressions

Je tremble de froid
La pluie tombe à ma fenêtre

Me levant je me dirige vers ma fenêtre et l'ouvre
Le vent fraie senteur d'herbe me fouette le visage

Mes poignets me font mal
Je baise mon regard vers eux

De large entaille embrasse ma chair
Un filet de rouge coule et glisse le long de ma peau

M'adossant au rebort de la fenêtre je ferme les yeux
La mort est venue me prendre dans ses bras

Le vent qui souffle sur la plaine envole au moins les peines de mon cœur
L'odeur des roses embaume mon univers
Le chant de l'alouette me rappelle les matins ou je me réveillée dans tes bras
Et pourtant aujourd'hui tout et fini
Mon cœur est devenue de glace